C’est à l’épicerie que je rencontrai pour la première fois
Krystal avec sa fille Anaëlle. Une grande femme de 5.9 pi aux longs cheveux
bruns bouclés, portant une longue robe claire qui laissait entrevoir de
magnifiques chevilles roses à découvert qui auraient pu être cerclées de
lanières de cuir juste au-dessus du talon rejoignant la chair blanc-crème, mais
cela n’était que le produit de mon imagination vagabonde, ses pieds reposaient en
réalité de tout leur long dans des mules foncées, légèrement écornées et
probablement imprégnées d’une humidité rance en raison de la température élevée
de cet été qui fut jusqu’à présent plutôt torride. Nouveau dans la ville et
venant pour la première fois dans cette épicerie fine, je lui demandai si elle
savait où se trouvait le café, elle me fit un grand sourire lumineux et ses
yeux devinrent pétillants, sa fille Anaëlle se trouvait devant la section et
cachait en partie le café, elle mit la main sur la douce épaule nue de sa fille
comme pour l’éloigner, et je me souviendrai toujours de ses longs doigts
gracieux mais forts, Anaëlle se retourna et me fixa de ses yeux noisettes faussement
hagarde et volontiers batifoleuse. Elle portait une jupe de cuir noir, et
dépareillée, des runnings un peu verdis par le gazon et elle semblait encore
toute fraîche sortie de la douche, car ses longs cheveux blonds plats en ébauche
de tresse étaient imbibés d’eau et de parfum. Je la voyais sein nus, penchée, un
pied sur le dessus du siège de toilette, la serviette basse autour de la taille
en train de se limer les ongles et me jeter un regard par-dessus l’épaule. Ce
regard, c’était celui qu’elle me lançait maintenant… Je ne pouvais m’empêcher
de les remercier toutes deux et de me présenter à elles. Krystal, 42 ans, mère de
poigne, Anaëlle, 18 ans, fille sportive et un peu rebelle. Nous avons parlé un
peu de tout et de rien, puis à force d’être plaisant et de sourire (ce qui
n’est pas à mon habitude) elle m’invita à prendre un verre de vin chez elle, vivant
sans le savoir tout près de moi, ce qui nous égaya fort, sans raison apparente
autre qu’une perspective de cul? - Je le veux bien. J’acceptai l’invitation de
bon cœur. Je me rendis donc pour huit heures chez elle, tel que prévu. À ma
grande surprise, Rütger, son petit ami était là… Je me présente, il a les mains
un peu trop carrées, c’est un manuel, je n’ai pas osé demander. Il quitta
cependant peu après car il devait conduire Anaëlle à sa pratique de soccer. Je
fus donc à partir de ce moment seul avec Krystal, et un peu intimidé d’ailleurs,
car son chum pouvait revenir à tout instant, mais je savais qu’il était parti
pour au moins deux heures à Bathurst… Krystal me mit à l’aise, me frôla la
taille en allant chercher du vin et je savais dès ce moment qu’il était
question de nous deux, en tant qu’humains faits de chair et de désir… Je ne
pouvais laisser son geste impuni, je m’avançai donc sur elle tout en arrimant
son regard et la serrai contre le comptoir de cuisine, je goûtai à sa bouche…
Ses lèvres pulpeuses m’emportèrent sur les flots et je mis la main sous sa robe
dans sa petite culotte et sentis l’écume montante, elle voulait faire l’amour
plus que jamais… Je ne savais pas pourquoi elle m’avait choisi, car j’étais un
gars particulièrement ordinaire, sans grand éclat, presque terne, un peu
étouffé par la vie, mais ce soir, je semblais lui plaire fortement. Elle prit
bien mon cul à deux mains alors qu’elle m’embrassait et leva sa cuisse pour
passer une jambe derrière la mienne, comme en signe de possession. Oui, je
sentais que dès ce moment je lui appartenais effectivement, oui, elle m’avait
pris dans sa toile, son piège érotique, je sentais quelque chose de peu
ordinaire chez Krystal, comme un côté sombre, intrigant, magnétique, animal. Étrangement,
presque d’entrée de jeu et en plein préliminaire, elle me demanda si j’avais
déjà essayé de me faire pénétrer par une femme… La question me parut drôle… Sur
le coup je ne compris pas. Elle me montra l’engin en question : un gode membré
fixé à un support et des attaches en cuir. J’étais un peu mal à l’aise et
refusai. Me faire embrocher par une femme était bien la dernière chose à
laquelle je pensais ce soir-là… Je lui ai dit que la chose la plus perverse que
j’avais déjà faite c’était de lécher les pieds en sueur de mon ex… Elle sourit
malicieusement… Elle m’emmena dans la chambre de sa fille, sur son lit, on fuma
un joint qui traînait sur la commode tout en continuant nos ébats au ralenti,
soudain, elle mit la main dans le panier à linge et me fit sentir la petite
culotte tachée de sa fille, et me la frotta sur le visage tout en m’embrassant
au travers. Elle alluma le stéréo de sa fille et un peu au hasard on tomba sur Hard
Rock de Lil Wop… J’étais déjà complètement ivre de désir… Elle m’empoigna
la queue durement et la planta net dans sa chatte, assise sur moi elle
continuait à m’embrasser au travers de la petite culotte sale… Je trouvais ce
que nous étions en train de faire complètement pervers, dément, mais
étonnamment j’aimais ça, j’en avais un vertige vraiment malsain. Je sentais sa
chatte brûlante sur ma queue, mouiller mon pubis dans un va-et-vient agressif,
dominant, elle possédait mon sexe. C’était elle qui me baisait, pas moi…
Puis lorsqu’elle eut joui et que je vins en elle, elle planta ses ongles lentement
mais férocement dans ma poitrine, remonta jusqu’à mon cou puis me demandant si
je voulais me goûter en elle elle mit sa chatte en montée complète sur
ma bouche et me força tout en caressant ses seins ruisselants de sueur, gouttes
salées qui coulaient le long de son ventre et venaient s’ajouter aux effluves
de sa chatte à ma bouche bien ouverte. Elle empoigna mes cheveux et poussa avec
son ventre pour éjecter le sperme dans un deuxième cri de jouissance… Elle
frottait sa chatte sur mon visage et j’étais sale de mon sperme et de son jus,
tout sentait le sexe, sa chatte, moi, ma face, je devenais fou, elle m’embrassa
au même moment et goûta ma lèvre qui saignait légèrement…
Ce fut ma première aventure avec Krystal... Mais ce ne fut pas la dernière.
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