coups de feu Uzi station Berri pleine heure de pointe en pleine face Crazy Seb tireur fou aux extrémités huit body dans la lune grésillant dans les mares de sang surchauffées double Uzi en main ça ricoche dans le tas les giclées sur la chair fraîche sent le roussi un carnage au barbecue muni d’un snipe à injection de blond de Burley et de Dark Entries aux volutes nébuleuses d’une face cachée trouée par les rafales de balles de Crazy Seb primé saturé en fort et en crack étouffant dans la canicule au Centre-Ville de Horse Cum City plongeant dans l’hystérie médiatique la panique Allo Police les derniers commentaires du tireur hystérique avant de devenir fou les yeux globuleux braqués hallucinés malades programmé pour tuer à la Bauhaus le visage striés de larmes d’acier fumant comme sous l’impact du feedback négatif du bourrage d’un accélérateur de particules une dernière pensée avant l’impact des balles des cochons Marwen
Marwen Platinum de huit body enlacées une queue pour chaque
trou ça bouche éclate en foutre huit queues pour chaque trou est bien rempli ça
gicle de partout le regard distant pense à Crazy Seb en train de fumer les
charognes de cochons ça tire un coup en pleine gueule les balles les boules ça
testicoule sur le bord inférieur la lèvre au gland se moule et suce va-et-vient
va-et-vient le jus roucoule dans les testicoules et ça s’en vient la grande
rafale de balles de boules de jus de viande roussi et de sang nacré par la
foudre y a pas à dire les freegames sont au menu la tête éclatée cervelle de
porc en ecstasy ma drogue mon amour Marwen Platinum record anal 68 éjaculations
internes ça coule dans le vase sur le bord inférieur de la lèvre baffée qui
saigne salée au rythme du death machine flame thrower gas mask instigator SLAVE
LABOR pute en chaleur salope suce baise enculée de foutre avale tout lèche tout
mes pieds sales tes pieds mon cul ta chatte bien remplie ma queue bien dans ton
trou tous tes trous tous les trous de cul de toutes les femmes en présence 16
alcool crack cannabis on perd la map c’est l’ivresse totale on sent la fumée expirée
l’été le sexe l’amour la dèche les vagins chauds et humides encore béats des
queues sauvages qui défonce mitraillent les jeunes poupées en mal de se sentir
femme je vais te faire sentir femme je vais te défoncer ta chatte bien bien tu
vas être ma blonde mon trou mon dépotoir je vais te défoncer le cul sans merci
tu vas crier tu vas supplier personne ne pourra t’entendre tes gémissements
seront enterrés par ma queue qui frappe contre ton cul à toute allure dans ta
chevelure violente ondoyante brune le sperme coule par giclée tu es mon esclave
sexuelle à vie penche-toi v’la mes amis ça crie c’est toi j’te tiens par le
crinière pendant qu’on te travaille à fond la nuit ne fait que commencer et tu
cries déjà voilà ta piqûre ta noircisssure ta saleté la fornication ça va te
détendre la fente
Aucun commentaire:
Publier un commentaire