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«Je n'ai qu'une passion: celle qui me permet d'être libre sous le joug, content dans la peine, riche dans la nécessité et vivant dans la mort.» Giordano Bruno

lundi 13 septembre 2021

Bleed It 10

c’est à Campbellton que j’ai commencé à boire sof je ne sais pourquoi elle n’a voulu m’attacher et j’ai commencé à m’autodétruire tout serait parfait si j’avais une femme à la sublime fourrure oui sublime si seulement elle a percé tiré et troué ma chair j’avais une femme on dirait que c’est tout ce qui manque en ce moment scarlxrd une femme pour me dire quoi faire me dominer oui agresser l’humilier je les aime et comme ça je suis toujours près de se casser mais non j’arrive au point de rupture et puis ça ne casse pas j’ai commencé à boire plus que de normal ici et c’est ici que j’ai commencé à vraiment boire ainsi que me droguer systématiquement et je ne sais pourquoi non et j’ai eu envie soudainement de regarder elle aussi de la porno non je veux une femme blanche mais je me suis mis à regarder des hommes 100 arrêt sans toutefois il y avait d’autres vidéos sof aussi j’étais obsédé cette femme chiait dans la bouche du type et j’aimais voir ça goûter son cul à sa merde et dominer par elle qu’elle s’essuie ma face c’est ici que j’ai commencé et à boire vraiment au coucher du soleil et à m’intoxiquer parce qu’elle m’aimait sof elle ne voulait pas de moi j’ai refusé puis c’est à ce moment qu’elle urinait dans sa petite culotte je sentais tout oui c’est elle que je voulais son pied aux longues orteils fines fabuleuses avec bague en or élancée je la désirais j’avais envie d’écarter ses grandes longues jambes la lécher la lécher entrer en elle et bien la garnir sentir la goûter oui sof tu sais tous les soirs oui violée j’ai bu me suis drogué suis allongé en pensant et elles toutes ces femmes m’obsèdent les rendaient fous sof puis elle a chié sur lui il a mangé toute sa merde et en a redemandé et c’est ce qu’elles voulaient toujours depuis toujours la chaise percée m’attendait et elle c’était la table de cellophane sous vide elle risquait de mourir étouffée de perdre conscience mais elle désirait cela personne ne sait pourquoi sof c’est le désir est parfois étrange incompréhensible pervers et non-naturel c’est mon sang qu’elle voulait pendant que j’étais occupé à nettoyer son orifice elle me découpait les avant-bras avec des lames au rasoir elle aimait badigeonner ses fesses de mon sang pour que je l’encule je suis arrivé au point de rupture sof tout s’est brisé en elle en moi les deux sont rejoins en chute libre et elle vomit nous sommes tombés dans une zone sans foi ni loi sans interdit si c’était possible que je lui ai dit je voulais aller au maximum moi-même et qu’elle me pousse au maximum de ce qu’elle pouvait c’est ce que je voulais je ne voulais pas de règle qu’elle soit libre de faire sur moi ce qu’il lui plaisait je lui ai dit jouons un petit jeu et plus elle était sadique plus j’aimais ça plus plus je disais oui toujours oui j’en veux plus et encore elle comprenait et elle en voulait toujours plus et toujours encore plus et ça n’avait plus de limite la vache je l’aspirais la fumée puis elle sur moi elle me terrassait drogué j’ai alors commencé à regarder de la porno puis au début des femmes et ensuite il y avait autre chose de la peau rose des talons de la chair du poil brun je suis devenu fou des chattes brunes qui jutaient n’importe quoi pisse sperme éjac féminine gluantes peu importe je voulais tout oui tout lécher faire pénétrer en moi ce qui sortait de cette femme je suis devenu obsédé des pieds d’Amélie et de leur odeur de fromage citronné je les léchais sentais et j’étais dur j’étais cochon et je lui ai dit j’aime ton odeur tes pieds sentent bon et dans ma tête je t’aime domine-moi fais de moi ton jouet bébé amour tes pieds seuls me réduisent en esclavage j’ai écarté ses jambes et je me suis mis à boire la drogue était bonne et elle filmait son chum en train de se faire enculer par un Noir j’aimais ça je m’imaginais à sa place en train de me faire défoncer transformer mon cul à une chatte faire me démasculer puis le sperme coulait de son cul elle était là oui elle sur filmait c’était de la dénaturation pure je ne voulais plus être humain sa chatte goûtait aussi salée que la mer puis ma langue allait au fond d’elle je léchais son anus poilu sale avoir su sof je serais allé plus loin car toutes ces femmes voulaient aller plus loin sof mais je n’ai rien fait j’ai fait comme si je ne voulais rien faire rien mais en fait j’étais incapable de rien faire que de lécher la merde sur ses pieds macérés dans la sueur rancie de vieux sneakers troués parsemés de taches blanches de sel d’hiver.com je ne sais ce que je veux des femmes je les aiment oui j’aime les vagins sales sof les vagins pas propres et pas clairs les salopes les expérimentées dans la chose de la saloperie les impures qui me saliront à leur tour m’aviliront feront de moi autre chose oui autre chose sof et tu sais quoi de meilleur car toi seul m’a fait jeter la serviette à réussi à comprendre mon point faible ce que je veux ce qui se passe dans ma cervelle d’homme en déroute c’est ici que j’ai bu et la drogue tous les jours j’étais à semi-conscient elle savait soif elle savait elle l’a enfilé puis s’est invitée dans mon cul j’ai été au point de rupture on s’est laissé puis c’est à ce moment que j’ai refusé elle m’a attaché ouvert les avant-bras puis a ri j’étouffais sous sa merde elle se torchait en riant puis me forçait à manger ses bouts de papier brunis de sa merde sacrée j’étais heureux je lui ai dit veux-tu une bière et la serveuse nous amena les deux bières plus des shooters qu’on buva en trinquant au désespoir à la merde de cette existence au cul-de-sac dans lequel nous étions tous pris au piège moi elle sof toutes elles incluent et eux moi aussi en tant qu’homme ou femme c’était son cul que je voulais en tant qu’animal j’ai les enzymes pour digérer toute les saletés que tu me lanceras par la tête ce soir voilà pour toi sof

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