Remarque après coup ---- Juli Zeh : la fille «sans qualités», mais avec du pognon et des parents hauts placés, allez voir ça sur Wiki. On donne à certains coureurs plusieurs longueurs d'avance sur les autres et après on s'étonne qu'ils gagnent la course, on les acclame comme des «génies», on leur réserve les plus hauts honneurs, etc. C'est de la pourriture tout ça. Et c'est la raison pour laquelle je ne lirai pas ce crisse de livre, de toute façon, le titre fait faussement allusion à l'oeuvre de Musil parce que le titre original c'est Spieltrieb : rien à voir avec la traduction par «La fille sans qualités».
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