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«Je n'ai qu'une passion: celle qui me permet d'être libre sous le joug, content dans la peine, riche dans la nécessité et vivant dans la mort.» Giordano Bruno

mardi 18 mai 2010

L'Orient sur ma queue

Je pensais ce matin à mon aventure avec une Chinoise à cause de mon titre de billet d'hier. J'ai envie d'en parler; j'en ai peut-être déjà parlé avant, mais je réussis toujours à en parler quand même différemment. Comme si je photographiais une personne, mais que je changeais mon angle et ma position.

Je travaillais avec des «mongols» au Dollarama (oui, je faisais dur dans ce temps-là, mais je faisais mon bacc en philo!), je plaçais du stock sur les tablettes, puis, une Chinoise est arrivée avec sa petite fille, elle lui lançait des phrases en chinois et semblait chercher un produit en particulier; je voyais ce qu'elle cherchait, il n'en restait plus, alors, moi qui aimais beaucoup cruiser dans ce maudit magasin de merde puisque je m'y ennuyais à mort, je lui ai répondu «Méiyǒu, méiyǒu», ce qui veut dire en chinois «Il n'y en a plus». Elle a souri, elle était étonnée de voir que je parlais un peu sa langue, puis je me suis pluggé immédiatement alors que j'avais sa sympathie : je lui ai dit en anglais que je cherchais quelqu'un avec qui pratiquer le chinois et en retour que j'apprendrais le français à cette personne. Je faisais des cours de chinois dans ce temps-là, car je tenais à apprendre une langue orientale, j'étais donc sincère, mais en même temps, c'est certain que j'aurais aimé faire autre chose aussi, si c'était possible, car je la trouvais assez belle et que je n'avais jamais essayé ça avec une Orientale...

C'était une femme mûre, fin trentaine, de taille moyenne avec un joli sourire. Elle avait un visage sérieux et un peu triste parfois, elle se laissait aller à la mélancolie. Je parlais mieux anglais qu'elle, donc je pouvais arriver des fois à trouver les mots pour ce qu'elle voulait dire. Elle était arrivée depuis peu ici à Montréal, et je le sentais, et aussi bizarre que cela puisse paraître, je le constatais aussi par ses expressions faciales, ses gestes, qui ne correspondaient pas au milieu d'ici, à la mimique d'ici. Je sentais que j'avais affaire à quelque chose de profondément étranger, et ça m'excitait d'autant plus.

Nous nous sommes donné rendez-vous au parc Lafontaine dans l'idée de nous diriger ensuite au café pour pratiquer, mais nous n'y sommes jamais allés... Nous étions assis côte à côte devant la fontaine du parc à regarder le jet tout en jasant, puis, soudainement, c'est vraiment sorti de nulle part, elle m'a embrassé solidement, intensément, la langue dans bouche et tout... Y a pas à dire, j'ai été pris de court, je ne croyais pas être aussi irrésistible! (salut P! :) Je me suis dit intérieurement : «Bon ben, on va sauter les étapes de la cruise!» Quelques minutes plus tard, elle m'invitait chez elle... Faut dire que les Chinoises ont du guts en sacrament! Elles sont loin des petites Japonaises soumises et plates (dont j'ai seulement entendu parler). Tout le long du chemin cependant, elle insistait pour dire que ça ne marcherait pas entre elle et moi, parce que j'étais trop grand disait-elle.

L'impression que cette femme m'a faite est celle d'une «tigresse», littéralement, je couchais avec un fauve, et ça c'est confirmé par la suite, elle avait plus de lead que moi. En effet, contrairement à ce que beaucoup pensent, les femmes orientales sont loin d'être soumises en général, au contraire, c'est plutôt l'inverse : ce sont des femmes dominantes et agressives. En faisant mes cours de chinois, j'avais fini par apprendre aussi, de la bouche de ma professeure (joke), qu'il n'était pas rare que l'homme chinois soit dominé par sa femme, et qu'en plus, il accepte avec plaisir cette domination! Il y a d'ailleurs une expression consacrée pour cela, quand un Chinois dit à un autre «J'ai la bronchite», ça veut dire «Ma femme me domine». Assez amusant!

Bon, alors, on est arrivés chez elle, me dit de faire attention, pas trop de bruit, etc., en montant les marches elle me révèle qu'elle a un chum... Ça me titillait un peu cette confession, mais bon, il était trop tard, fallait consommer la chose. Sa fille n'était pas là, quelqu'un d'autre la gardait j'imagine. Elle m'a fait à manger : ça, ça m'a fait beaucoup plaisir. Elle m'a fait goûter à la vraie bouffe chinoise, elle aimait cuisiner et elle était bonne. Je ne me souviens qu'en gros de ce que j'ai mangé, évidemment du riz, il y avait du porc (les Chinois mangent beaucoup de porc), une soupe aux fruits de mer et algues succulente, et pour dessert des tonnes de fruits. C'est ce qui m'a vraiment étonné : apparemment, et c'est ce qu'elle m'a laissé comprendre, les Chinois aimaient beaucoup les fruits au dessert. Mais quand je dis «manger des fruits», on parle d'un plateau complet, une orgie, c'était vraiment énorme et beaucoup plus que ce qu'on mange habituellement ici, parce que les fruits sont quand même assez chers.

Elle a mangé avec moi, elle mangeait c'était effrayant! Je n'ai jamais vu une femme manger autant tout en étant si mince... J'en revenais pas, mais je faisais comme si de rien n'étais, elle engloutissait la bouffe et les fruits, c'était vraiment stupéfiant, et très excitant à la fois! Pourquoi excitant? Parce que ça démontrait une certaine force, une certaine poigne énergique, de la générosité, une volonté de vie, et ça promettait pour le sexe! Un sexe juteux et brûlant d'intensité! J'avais tout de suite des images de forage et de pompe à pétrole dans la tête, c'était big! J'avais le sexe en plein, en Imax!

Elle a commencé à parler qu'elle était mariée en Chine, mais que le père de sa fille n'était pas encore rentré au pays. Que son chum travaillait à l'extérieur pour la semaine (ça me rassurait!), et qu'il n'y avait presque pas de chance qu'il vienne cogner à la porte. Elle me parla d'ailleurs un peu plus de lui... C'était apparemment un homme infidèle, elle avait de gros doutes sur lui, alors, elle ne me l'a pas dit, mais elle voulait lui remettre ça avec moi... Je me dis encore une fois qu'elle n'avait l'air de rien, mais qu'elle ne manquait vraiment pas de guts!

Nous avons été faire un tour du côté de la chambre, puis nous avons commencés à nous embrasser, les vêtements sont tombés par terre. Elle s'est étendue, et je la trouvais belle nue, elle avait de beaux seins fermes, de belles jambes, et une belle petite touffe noire. J'étais en train de mettre mon condom, puis je ne souviens pas très bien, on parlait un peu de son chum, elle m'a confié qu'il avait une très grosse bite... Je me suis dit intérieurement : «Je m'en fous moi, je te fourre pareil!» Mais je l'imaginais quand même en train de se faire défoncer par cet étalon inconnu, et ça m'excitait encore plus, c'était pervers!

Quand j'ai rentré ma queue dans sa chatte mouillée, j'ai vu effectivement que ce n'était pas aussi serré que je croyais que ça allait être, ça ne m'était jamais arrivé auparavant; c'était trop lousse pour qu'elle devienne ma blonde, à moins que je l'encule, mais je sentais quand même assez bien pour réussir à jouir. Un autre de mes préjugés venait de tomber : que les femmes orientales sont toutes serrées naturellement! Eh bien, ça dépend d'avec qui elle a couché auparavant! Mais encore là, j'y croyais plus ou moins à cette histoire de slaquage par une grosse queue : j'ai connu des putes qui étaient serrées comme le crisse, et c'était pourtant de vraies salopes qui fourraient à tour de bras à droite et à gauche avec des étalons. Je pense aujourd'hui qu'elle était juste slaque à cause de son accouchement en Chine, où elle n'avait pas été, probablement, recousue. Je m'en foutais un peu, c'était bon pareil, et puis je l'ai fourré encore deux fois par la suite.

Le lendemain matin, on a commencé à se caresser au réveil, et j'ai eu fortement envie de lui manger la plotte. Elle a vu que je désirais mettre ma langue dans son trou, alors elle a commencé à prendre des positions en cochonne, elle faisait exprès de s'écartiller à genoux dans ma face. J'avais tout son cul dans ma face, et ses lèvres bien ouvertes, je léchais tout : son anus, sa chatte bien propre et bonne, c'était merveilleux. Et elle aimait ça aussi, me rendre fou, m'exciter encore plus en se cambrant davantage, esti que j'étais bandé, je l'ai fourré à nouveau, et on a joui tous les deux très fort.

On s'est revus par la suite deux ou trois fois, elle parlait toujours de ma grandeur et du fait qu'on ne fit pas ensemble, aussi, du fait que j'habitais avec mon ex et qu'elle ne croyait pas que je puisse être fidèle, puis, un bon soir au téléphone, elle m'apprit qu'elle avait cassé avec son chum, elle était triste, elle ne voulait coucher avec personne, elle avait peur de l'amour, elle disait que «le temps détruit tout», puis, ça s'est terminé là... Je tombais sur son répondeur, alors j'ai arrêté de l'appeler. Un soir, elle m'a appelé pour me confier qu'elle avait perdu son emploi, qu'elle n'était pas assez bonne en français, etc.

Je l'ai croisé ensuite sur la rue quelques fois : elle était toujours seule avec sa fille, et paraissait triste. J'aurais aimé lui parler, mais son visage était impassible. J'ai respecté ça et j'ai fait comme si je ne la connaissais pas.

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