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«Je n'ai qu'une passion: celle qui me permet d'être libre sous le joug, content dans la peine, riche dans la nécessité et vivant dans la mort.» Giordano Bruno

mardi 15 septembre 2009

Complètement vidé

Hier soir, il était tard, grosse journée, j'étais complètement vidé. Je me suis étendu sur le lit, me préparant à me coucher, un livre à la main pour me détendre. Puis, ennuyé, j'ai tassé la couverte sur l'autre côté du lit et je me suis foutu à poil. J'avais envie de me jouer après tranquillement, en tournant autour de la bête, passant mes doigts dans les poils de mon torse, ensuite en allant un peu plus bas. Il m'arrive souvent de me masturber le soir avant de me coucher, parce que ça me détend et qu'ensuite je dors comme un petit bébé. C'est aussi avant de me coucher, lorsque je suis très fatigué, comme au réveil, que mes envies sexuelles sont les plus fortes. J'ai mis mon livre de côté, j'étais dur; je me suis fait un petit parachute pour accueillir ma semence sur le bord du lit, puis j'ai commencé à m'astiquer la verge tout en m'amusant à comparer sa longueur avec celle de ma main la tenant bien ferme, l'imaginant aussi dans la bouche d'une femme bien «disposée». Au moment de jouir, j'ai changé d'idée et j'ai ouvert ma main pour recueillir le tout. Ça faisait drôle de sentir la chaleur humide me coulant quelque peu entre l'index et le majeur. J'ai examiné mon sperme, l'ai senti : odeur normale. J'ai passé l'index dedans pour examiner la texture, puis j'ai essayé de différencier le liquide séminal du sperme comme tel et de les séparer. La consistance était bonne, pas trop liquide, pas trop épais. Je devais avoir une cuillère à thé, et le jet m'a fait penser au jet de mes vingt ans, pour une fois depuis un boutte. J'ai essuyé ma main avec les mouchoirs étalés sur le plancher, l'ai lavé à la salle de bain, puis me suis couché, plus ou moins satisfait.

Si vous avez trouvé ce texte intéressant, il n'y a plus rien à faire, votre situation est sans espoir.

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