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«Je n'ai qu'une passion: celle qui me permet d'être libre sous le joug, content dans la peine, riche dans la nécessité et vivant dans la mort.» Giordano Bruno

samedi 7 août 2010

Vérité no.35

Si les «rapports» sexuels dans les films pornographiques tournés en Europe de l'Est ressemblent si souvent à des «viols», c'est parce qu'ils en sont d'une certaine façon: les producteurs de porno profitent de la situation économique inférieure de ces pays pour forcer la main des jeunes femmes qui se retrouvent sans perspective d'emploi intéressante et en détresse financière. On pourrait peut-être invoquer le «consentement» par écrit de ces femmes de par leur contrat, mais il faudrait peut-être tenir compte, une fois pour toutes, du contexte beaucoup plus large dont elles sont les victimes avant de dire que celles-ci seraient «entièrement» consentantes, peu importe la situation. On ne fait jamais remarquer que les femmes dans les pays pauvres sont toujours plus facilement «consentantes», prennent plus de risques, font plus de «choses» et à moindres frais. C'est parce que les producteurs ont le bon bout du bâton dans ces pays, tandis qu'ils ne réussissent jamais, étrangement, à faire des films très cochons avec les femmes riches de Monaco.

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