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«Je n'ai qu'une passion: celle qui me permet d'être libre sous le joug, content dans la peine, riche dans la nécessité et vivant dans la mort.» Giordano Bruno

mardi 10 novembre 2009

De la bonne viande de femme mûre


Mûre et sexée (ouais, on sait, ton piercing...). Je ne sais pourquoi (d'ailleurs, comme pour tout le reste dans l'existence), mais j'ai toujours préféré les femmes plus âgées. Une jeune femme c'est très joli, mais je sais pas, ça manque de quelque chose (bien sûr, je la baiserais quand même). Je ne cherche pas tant à être avec une beauté plastique qu'avec une femme charmante qui est de bonne compagnie, qui sait parler, qui a de la profondeur, une femme intelligente mais sans être froide, et qui a le sens de l'humour. C'est ça pour moi un «canon»; l'amour, ça se passe principalement dans la tête. Physiquement, j'aime bien les petits défauts qui commencent à paraître lorsqu'une femme vieillit. Elles ne les remarquent pas toujours sur elles-mêmes, mais j'ai l'oeil perçant, et bien sûr, il faut le garder pour soi, car ça ne se dit pas «J'aime bien ta ride » ou «J'aime bien ta peau du coude qui commence à pendre», etc.

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