Pages

«Je n'ai qu'une passion: celle qui me permet d'être libre sous le joug, content dans la peine, riche dans la nécessité et vivant dans la mort.» Giordano Bruno

jeudi 5 novembre 2009

La dollarocratie n'en aura pas pour son argent

Je ne sais quoi dire à propos de la dollarocratie. Je suis tellement énervé, surchargé de travail, l'équation est simple : je n'ai plus le temps d'étudier et je suis «stalé» là, pris là avec ce que j'ai comme diplômes, et je ne serai jamais capable d'aller beaucoup plus loin. Moi qui voulais retourner pour faire un bacc en maths : on va oublier ça, je vais essayer d'en faire un peu à la maison, dans mes temps libres...

Je n'ai pas vu le dernier film de Michael Moore sur le capitalisme, mais que peut-il nous proposer de plus à part d'«ouvrir nos coeurs»? Je ne vois pas d'issue à notre situation, et l'appel à la «bonne volonté», qui réussit toujours d'ailleurs à nous arracher une larme, c'est de la grosse marde. On le sait bien que l'homme est un rapace (on a aujourd'hui l'exemple du communisme, qui a prétendu, en vain, servir de contre-exemple)  et s'il se produit un changement, c'est avec des «moyens» que ça va se faire, pas avec des «sentiments». Quand j'étais jeune, avant d'être obligé de  gagner ma vie, je regardais ce monde complètement fasciné et je rêvais à temps plein en imaginant toutes sortes de scénarios qui aideraient les gens à sortir de leur misère. On peut aussi bien dire aujourd'hui que tout ça ressemblait fort bien à une illusion de jeune ado.

Il y a des classes, et celles-ci sont inévitables. Quand je vois des gros tarlas et des grosses épaisses qui bavent la suffisance dans ma face et sont en faveur de l'«égalité», je comprends qu'on n'appartient pas à la même race. Que faire avec du bétail puant qui se bourre la face de Joe Louise et prennent toute la place dans l'autobus et le métro? Ils s'imposent inévitablement partout de toutes les façons possibles avec leurs gros culs mal torchés, et ensuite ils veulent nous imposer en plus leur droit de vote? Va falloir aussi les emmener en  chariot-élévateur au bureau de vote? Que penserait-on d'une «dictature de la salade»? «Je mange déjà de la salade, à tous les jours même!», ben oui, mais tu crisse dedans trois bouteilles de vinaigrette crémeuse à la ranch!!! La voilà, câlisse, l'explication à ta «maladie»!

À continuer un jour...

Aucun commentaire:

Publier un commentaire