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«Je n'ai qu'une passion: celle qui me permet d'être libre sous le joug, content dans la peine, riche dans la nécessité et vivant dans la mort.» Giordano Bruno

mercredi 13 avril 2016

Le consentement avant le bien

On pense des fois faire le bien en imposant aux autres nos façons de vivre et de penser, comme la démocratie libérale, par exemple.

Mais il y a une chose, une règle plus importante à suivre que le «bien», c'est le consentement des gens concernés.

S'il n'y a pas de consentement, le «bien» devient un «mal».

C'est aussi une règle qui fonctionne dans toutes les autres sphères de la vie.

On ne peut pas «imposer» le bien aux autres... il faut que les parties concernées le «veuillent» pleinement, et veuillent qu'on les aide à y parvenir.

On ne peut pas arriver et «sauver» les gens comme ça...

On doit pouvoir leur montrer la voie, et il doivent y participer pleinement: on ne peut le faire pour eux.

Car le plus important pour que ça réussisse, c'est le consentement au bien, et non le bien lui-même.

On ne peut forcer cette règle de la nature humaine: si cette loi est enfreinte, tout ce qui a été fait sera annulé, malgré toutes les bonnes intentions.

En ce sens, le consentement est comme sacré, et quiconque ne respecte pas ce principe, finira par en payer le prix.

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