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«Je n'ai qu'une passion: celle qui me permet d'être libre sous le joug, content dans la peine, riche dans la nécessité et vivant dans la mort.» Giordano Bruno

mercredi 7 mai 2014

Bric-à-brac

-Le combo irrésistible d'Amir, même quand j'ai pas faim. Mon cerveau fait des freegames quand j'en vois un. Je me suis promis de ne plus manger de gluten, mais quand j'arrive devant le comptoir je commande la big assiette et je mange tout, surtout la sauce à l'ail. Je me crisse de puer de la gueule au travail quand je reviens du dîner tellement je suis addict à cette maudite sauce à l'ail mélangée au poulet. J'ai développé une compulsion à la bouffe libanaise. Je ne laisse jamais, absolument, RIEN dans l'assiette, même pas un petit grain de riz: ça prouve comment je suis atteint. Oui je le sais: n'importe quelle fille qui m'accompagnerait au restaurant aurait honte, mais je m'en contre-câlisse. Rendu là, j'aime mieux manger un combo d'Amir qu'une fesse de femme.

-Contemplation de la main d'un bébé en montant dans l'escalier mécanique du métro, finesse, «miniaturité», etc. (et un autre néologisme de mon cru à propos de la «petitesse», mais je ne m'en souviens plus, dommage... «minuscularité»?) Je me suis aperçu alors que je n'avais jamais vraiment regardé dans le détail la main d'un bébé, surtout les petits ongles mignons. La main me parlait, les mots d'étonnement me venait tout seul à l'esprit, puis quand j'ai perdu le contact visuel, les mots sont rapidement disparus, dont mon fameux néologisme que je me disais que j'allais utiliser dans un roman à venir, mais bon, too bad, j'en trouverai d'autres..

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