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«Je n'ai qu'une passion: celle qui me permet d'être libre sous le joug, content dans la peine, riche dans la nécessité et vivant dans la mort.» Giordano Bruno

jeudi 29 septembre 2016

Ce à quoi l'homme croit change, mais ses besoins sentimentaux sont invariables. Si un jour il croit à Dieu, un autre jour il peut croire dur comme fer à Darwin, ou à la Raison, comme chez Hegel. Par contre, s'il prend conscience de ses besoins émotifs, c'est une autre histoire. Ces besoins sont plus que nous le pensons, ou même, le pouvons penser, à la base secrète de toutes nos pensées. Ceci est peut-être bien la preuve que nos pensées sont bien ancrées dans des émotions, et que le cerveau est loin d'être comparable à un ordinateur, comme on aimerait bien nous le faire croire.

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