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«Je n'ai qu'une passion: celle qui me permet d'être libre sous le joug, content dans la peine, riche dans la nécessité et vivant dans la mort.» Giordano Bruno

mardi 21 avril 2009

À la recherche du dildo perdu

Cecilia venait d'emménager dans son nouvel appartement branché du Plateau depuis deux jours, quand Albertine se pointa pour lui rendre visite. En manque de sexe de façon aiguë, elle vit tout de suite en son amie péripatéticienne son lunch du midi.

Albertine, perverse de nature, ne refusant jamais une invitation à broutte-minou, décoda immédiatement le regard diabolique de Cecilia qui voulait dire couche-toi là ma garce que je te travaille les ouvertures, se dévêtit et se jeta nue sur le lit. Cecilia cherche son dildo dans les boîtes pour le mettre sur son strap-on et fourrer dignement cette jeune libertine dépravée, mais elle ne le trouve câlissement pas.

Elle annonce à Albertine qu'elle va devoir utiliser une technique plus invasive. Je vais te fister, dit-elle, ouvre tes fesses et détends-toi bien, je vais aller très doucement. Albertine n'avait jamais essayé ça, mais elle était très excitée à l'idée d'avoir un poing qui remplirait sa chatte ou son cul.

Cecilia étend du lubrifiant à base de silicone et commence son malaxage, rentre doucement un doigt, puis deux, fait des va-et-vient pour réchauffer la piste, puis va plus profond, la chatte mouille abondamment et c'est juteux. La technique un peu froide et chirurgicale de Cecilia excite encore davantage son amie. Albertine sent l'orgasme délirant qui se prépare, ça chauffe en dedans, ça frotte rythmiquement, ça danse, ça monte.

La main de Cecilia force son entrée plus profondément, se recourbe, se ferme durement en poing et ouvre grand les portes de Sodome. Albertine, extasiée par la sensation trouble et inusitée que lui procure son cul défoncé sans merci, jouit titanesquement.

Cecilia continue en jouant avec la chatte assoiffée de son amie tout en se masturbant, et lance «tu vois, ma main fist bien dans ton cul, encore mieux qu'un dildo». Les deux amies s'esclaffèrent et poursuivirent leurs ébats.

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