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«Je n'ai qu'une passion: celle qui me permet d'être libre sous le joug, content dans la peine, riche dans la nécessité et vivant dans la mort.» Giordano Bruno

mercredi 4 janvier 2017

Des situations sans solution

Ce que j'ai fini par comprendre dernièrement, c'est qu'il y a des situations où il n'y a pas de solution possible.

Par exemple: si ta femme ne t'aime plus parce que tu l'as trompée, tu ne peux faire en sorte qu'elle t'aime de nouveau. Tout ce qu'elle éprouvera désormais envers toi, c'est une sympathie sans amour, de l'indifférence ou de la haine, mais elle n'éprouvera plus jamais d'amour.

Il n'y a donc pas de solution (ou de retour possible à un état antérieur).

Il y a plein de situations comme ça auxquelles on cherche en vain des solutions qui n'existent pas.

Autre exemple: le harcèlement au travail, comment le faire cesser? Il est impossible de faire en sorte que ton supérieur t'aime, s'il te déteste et que le lien de confiance est brisé. La seule solution, comme dans la relation amoureuse en échec, c'est de quitter.

Oui, éloge de la fuite, parce qu'il n'y a pas de solution, et il n'y en aura pas. Et il ne sert de rien non plus de se plaindre à un psychologue inutile ou d'essayer de faire valoir ses «droits».

La seule solution valable à l'harcèlement en milieu de travail, ce n'est pas d'emprunter la voie épuisante et stérile du droit et de la justice, c'est:


l'abolition du travail

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