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«Je n'ai qu'une passion: celle qui me permet d'être libre sous le joug, content dans la peine, riche dans la nécessité et vivant dans la mort.» Giordano Bruno

jeudi 27 mars 2014

L'amour tue la crainte, mais la crainte réveille l'amour..

Si tu n'es pas aimé dans ton milieu de travail, fais-toi craindre. Les gens, à force de montrer des bons sentiments pour éviter la chicane vont finir par vraiment croire qu'ils t'aiment, alors qu'au fond, ils ne font que te craindre. Ça, c'est le syndrome de Stockholm, et c'est bon pour ce genre de salopes-là, parce que c'est bon de leur jouer dans la tête un peu, comme ils essaient de nous rendre fous.

L'autre façon, qui consiste à essayer de se faire aimer par des gens qui, viscéralement, mais sans raison apparente, ne nous aiment pas, conduit directement au martyr. Vous allez devenir les souffre-douleur de ces méchantes personnes qui vont vous torturer sans relâche par pure mesquinerie. Trouvez-vous ça juste? Si vous les laissez faire, c'est que vous approuvez leur comportement, autrement dit, vous approuvez l'injustice, autrement dit, vous méritez donc votre sort comme la chiffe molle que vous êtes. Ne voyez-vous pas alors que c'est une boucle sans fin qui s'abattra éternellement sur votre tête?

Ce que vous n'avez pas compris, c'est qu'au travail, entre adultes, ça marche un peu encore comme dans la cour d'école, entre ti-enfants: drette en arrivant, il faut prendre le plus gros et lui casser la gueule pour faire sa réputation de dur; si c'est une gang, il faut foncer dans le tas et taper sur la gueule qui est la plus près de votre poing, tout à fait gratuitement, pour faire sa réputation de malade ou de fou. On cogne en premier, et après on s'expliquera, on fera semblant de s'aimer en écoutant du Joe Dassin. C'est ça la vie. Les gens ne vous aiment pas. C'est une meute de loups qui se rassemble par intérêt, pas par amour. Salut Hobbes!

Il y a, bien entendu, des bons qu'on touche pratiquement jamais, parce que ça nous revient dessus comme du pipi contre le vent. Des vaches sacrées, genre. Mais eux, je ne connais pas vraiment leur recette. Soit qu'ils n'ont rien à envier, soit qu'ils n'ont rien qui soit enviable. C'est souvent des gens qui sont complètement en haut ou complètement en bas. Au milieu, c'est la bisbille entre loups : l'agression est la norme. C'est là qu'il faut regarder droit dans les yeux, comme fou braque, et qu'il faut casser des mains en les serrant, pour bien montrer aux «gens du peuple», au «vrai monde», bien leur enfoncer dans la tête et dans les mains, qu'on est redoutable, qu'on est sans pitié, qu'on est féroce, comme eux, ces enfants de chienne. Respect!!!

2 commentaires:

  1. Maurice K Florence. C'est sûr qu'avec un nom de même, tu t'attires des claques.

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  2. Est-ce que c'est mieux Daniel Style? ou encore, Tom Wreck? (à nenvers, Rectum) :D

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