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«Je n'ai qu'une passion: celle qui me permet d'être libre sous le joug, content dans la peine, riche dans la nécessité et vivant dans la mort.» Giordano Bruno

mercredi 24 juin 2009

Les trous de cul se reconnaissent entre eux

Je suis toujours surpris de voir le lien indéfectible qui unit les trous de cul entre eux. Une véritable solidarité à toute épreuve. La vérité, c'est que ces gens n'ont même pas assez d'étoffe pour êtres bons. Ils ne sont pas capables de s'élever par eux-mêmes au-dessus de leur fange, alors ils veulent amener les autres à leur niveau. Ils s'organisent, se liguent, se font des clins d'oeil pour signifier qu'ils sont dans le coup, parce qu'ils t'ont repéré depuis belle lurette, puis ils te passent comme un numéro. On ne s'imagine pas qu'il soit possible de valoir aussi peu aux yeux d'une autre personne, alors on tend la main, et c'est presque inévitable, parce que normalement on fait confiance, on compte sur la bonne volonté des gens, et on se fait avoir d'aplomb.

On se dit seulement après coup que ce genre de comportement est vraiment idiot, puisqu'il révèle immédiatement sans aucune gêne toute la bassesse de la personne qui en est l'auteur, et qu'elle s'expose ainsi de façon stupide à des représailles sans merci. Mais c'est justement ça le problème : on supposait au départ, à tort, en faisant crédit, que la personne était assez «intelligente» pour saisir les implications de son geste et qu'elle n'oserait jamais aller jusque-là pour obtenir son «nananne». Ben non, la prison, c'est même pas un problème, c'est fait spécialement pour prendre des vacances... Et le container là, dans la ruelle, ça te dit?

C'est juste un cave qui voit pas plus loin que le bout de son nez, et c'est justement pour ça qu'il est en train de te jouer après le portefeuille comme un minable qui n'a pas d'autres moyens de subvenir à ses besoins. Sa bassesse est si grande qu'elle te dépasse, par le bas. Y a des gens comme ça, y a des types d'hommes, des limaces visqueuses et d'autres qui se tiennent debout et font tout le travail pour les autres. Après qu'on vienne nous dire qu'on est tous égaux, et qu'on rêve de solidarité... Solidarité pour quoi? Pour se faire trancher la tête? Solidarité des déchets de la société? C'est même pas une utopie, c'est la réalité quotidienne. Non merci les beaux discours «rassembleurs» pour une nation de mendiants. Je passe mon tour pour la gauche.

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